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mardi 28 février 2012

L’UNSA dit non à l’institution d’un secteur optionnel légitimant les dépassements d’honoraires


Le conseil de la CNAMTS doit donner un avis, mercredi 29 février, sur un décret qui institue un secteur optionnel pour les chirurgiens, les obstétriciens et les anesthésistes.
Par ce texte, les complémentaires santé seraient contraintes de prendre en charge un dépassement d’honoraires de 50% pour les praticiens ayant souscrit à cette option.
En contrepartie, ces professionnels s’engageraient à « limiter » leurs dépassements à 50% pour 70% de leur activité et appliqueraient des honoraires au tarif de la sécurité sociale pour les 30% restants. Ils bénéficieraient de ce fait de la prise en charge de leurs cotisations sociales par l’assurance maladie.
L’UNSA constate que ce texte ne crée aucune contrainte pour faire cesser les dépassements d’honoraires excessifs. En effet, tous les médecins qui les pratiquent actuellement pourront continuer à le faire en restant en dehors de cette option. Quant à ceux qui, aujourd’hui, pratiquaient des dépassements inférieurs à 50%, ils se verront légitimés à les augmenter à due concurrence.
Dans ces conditions, ce texte, qui ne permet en rien de limiter les dépassements d’honoraires, est un nouveau cadeau à une clientèle électorale.
Il aurait été possible d’accepter une mesure qui permette une juste rémunération des professionnels si celle-ci avait été accompagnée de contraintes fortes pour limiter les dépassements d’honoraires. Ce n’est pas le cas.
C’est pourquoi l’UNSA se prononcera contre ce texte qui ne peut qu’entraîner une nouvelle augmentation des coûts des complémentaires santé.

mercredi 22 février 2012

[SE-Unsa] La lettre électronique n°239 du SE-Unsa



La lettre d'information n°239 du SE-Unsa – 19 février 2012
Jour de carence : c'est toujours non
Les modalités d'application sont maintenant connues. Ce dispositif reste une arme anti-fonctionnaires, symbolique et sans réelle volonté d'équité entre salariés du public comme du privé.
Un fiasco au coeur du quinquennat
Le rapport de la Cour des comptes est sans appel. La mastérisation à la sauce Darcos est une drôle de tambouille.  Rien qui ne permette de faire passer ce plat. Un document qui corrobore les critiques du SE-Unsa.
Avec obstination, ils s'attaquent au collège
Il ne sera pas dit qu'ils manquent de persévérance. Un décret publié récemment autorise les sorties du système scolaire en 4ème, en proposant l'alternance dès cette période. Une façon de séparer le bon grain de l'ivraie ?
EPS, une politique qui manque de souffle
Loin des discours officiels et des propositions de dernière minute, l'EPS sur le terrain n'est pas à la fête : diminution ou suppression des forfaits UNSS, expérimentation "sport l'après midi" peu probante. Le SE-Unsa dénonce cet écart entre intentions et réalités.
Syrie : halte aux massacres
Devant le courage incroyable du peuple syrien qui, malgré la répression sauvage, se lève contre le pouvoir despotique de Bachar Al-Assad, l'Unsa et 4 autres organisations syndicales manifestent publiquement leur soutien.


C'est décidé, j'adhère au SE-Unsa !

Pour vous inscrire ou interrompre votre abonnement à la lettre des enseignants,
connectez-vous à cette page ou envoyez un courrier électronique à lettre@se-unsa.org.
SE-UNSA - 209 boulevard Saint Germain - 75007 PARIS - tél. +33 144 392 300

vendredi 17 février 2012

[SE-Unsa] La lettre électronique n° 237 du SE-Unsa



La lettre d'information n°237 du SE-Unsa – 23 janvier 2012
En janvier, mauvais temps pour la fiche de paie
Certains ont pu croire au "Président du pouvoir d'achat". Regardant sur leur fiche de paie de janvier, ils constateront qu'ils percevront moins que le mois dernier. Comment est-ce possible ?
Lisez les explications du SE-Unsa, calculez votre salaire et diffusez l'info.
Etre malade, un luxe ?
Attention aux épidémies... Gare aux grippes ! Cela pourra vous coûter cher ! Nous ne savons pas encore comment cela se mettra en place mais le jour de carence est appliqué aux fonctionnaires depuis le 1er du mois. Le SE-Unsa s'oppose à cette mesure.
Rentrée 2012 : fermetures à tous les étages
2012 ne coupera pas à cette 5ème rentrée de suppressions de postes : 12 250 postes supprimés. Le SE-Unsa, avec tous les partenaires de l'Ecole, organise la mobilisation et la contestation localement. Contactez le SE-Unsa au niveau local pour être informé des initiatives.
Présidentielles : exprimez-vous !
Les élections présidentielles sont le moment de prendre la parole et d'affirmer ses revendications.
Quel projet éducatif pour l'Ecole ? Le premier dossier du SE-Unsa : Quelle Ecole pour la réussite de chacun ? où C. Lelièvre répond à vos interrogations est disponible dès à présent.
Le SE-Unsa soutient le pacte de l'AFEV contre l'échec scolaire. Notre système scolaire ne réussira pas à lutter efficacement contre ce fléau sans changer fondamentalement.
Le SE-Unsa, engagé pour l'égalité entre les femmes et les hommes, relaie « l'appel pour l'égalité femmes-hommes » et vous invite à le signer afin qu'en 2012, l'égalité soit enfin inscrite à l'agenda politique.
Tous au cinéma
Le SE-Unsa vous invite à aller voir le dernier film de Tony Kaye "Detachment" (sortie le 1er février). Ce journal intime d'un professeur remplaçant nous fait découvrir l'envers du décor d'un lycée  et nous permet de comprendre les difficultés mais aussi les espoirs des professeurs d'aujourd'hui. À New York ou ailleurs.


C'est décidé, j'adhère au SE-Unsa !

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mercredi 15 février 2012

Alerte aux messages frauduleux



Nous constatons actuellement  une recrudescence de faux e-mails et de faux sites internet aux couleurs de grandes sociétés visant à récupérer de manière frauduleuse des informations personnelles (données d’accès à votre espace Client, numéro de carte bancaire, RIB, adresse, numéro de carte d’identité…) et in fine, à soutirer de l’argent.

Nous vous engageons à être vigilant lorsque vous recevez ce type de demandes. Pour cela, veillez à :

- Ne pas répondre pas aux e-mails et aux SMS venant de numéros suspects,

- Ne pas remplir les données qui vous sont demandées,

- Ne pas cliquer sur les liens ou les boutons,

- Ne pas ouvrir les pièces jointes,

- Détruire immédiatement l’e-mail ou le SMS suspect,

- Mettre à jour le système de sécurité de votre ordinateur,

- Prévenir les services chargés de la répression de telles fraudes : un site internet dédié à la lutte anti-spam SMS et spam vocal www.33700-spam-sms.fr ou un site du ministère de l’Intérieur dédié à la lutte anti-spam virtuelle https://www.internet-signalement.gouv.fr/PortailWeb/planets/Accueil!input.action

Que faire si vous avez répondu à un message frauduleux ?

- Faites immédiatement opposition à votre banque,

- Modifiez votre mot de passe directement dans votre Espace Client.

vendredi 10 février 2012

Trading: les conseils de l’AMF


- N’investir que dans des produits avec lesquels l’épargnant est à l’aise, des produits dont il comprend les enjeux ;

- Avoir conscience que tout rendement important s’accompagne obligatoirement d’une prise de risque même s’il n’est pas directement communiqué. Avantages et inconvénients doivent être mis en valeur de manière équivalente. Il faut garder à l’esprit qu’il n’y a pas de produits miracles ;

- S’interroger sur l’identité du prestataire qui propose l’offre : vérifier qu’il fasse partie des prestataires agréés. Si l’établissement fait des opérations sur le marché des changes sans les autorisations préalables, les recours seront difficiles. Pour cela, vous pouvez consulter :

                     *  le site internet regafi https://www.regafi.fr/

                * le site Internet de l’AMF (www.amf-france.org) ou appeler AMF Épargne Info Service au 01 53 45 62 00 du lundi au vendredi de 9 heures à 17 heures ou par courriel en remplissant ce formulaire de contact à l’adresse suivante : www.amf-france.org/affiche_form.asp?urldoc=contact_form.html&lang=fr

jeudi 9 février 2012

Le trading en ligne: attention danger !


Nombre de sites internet vantant les mérites de s’improviser trader ou golden boy ont fait leur apparition ces dernières années. La bourse fascine, tout un chacun s’imagine pouvoir gagner d’importantes sommes d’argent et changer ainsi de niveau de vie. Pourtant la réalité se révèle souvent bien loin des messages positifs d’accueil sur ces sites.

Le « forex », contraction de deux mots : « foreign » et « exchange », désigne le marché des devises. En pratique, les déconvenues sont souvent le mot d’ordre pour les « boursicoteurs » du dimanche. Et le mot est faible, car souvent ce sont littéralement des drames financiers qui peuvent se tramer à l’issue de quelques séances d’ « improvisation » en bourse.

L’Institut pour l’Education Financière du Public (IEFP) en partenariat avec l’Autorité des marchés financiers (AMF) a publié le 09/11/2011 une étude réalisée par le Centre de Recherche pour l’Etude et l’Observations des Conditions de Vie (CREDOC) sur la culture financière des Français. Les résultats de cette étude sont très révélateurs : si 78 % des personnes interrogées ont le sentiment d’être à l’aise en calcul, seulement un Français sur deux sait que 100 € placés à 2 % par an conduisent à un capital de 102 € au bout d’un an. Seulement une personne sur quatre parvient à trouver la définition d’une obligation et 72 % savent qu’il n’est pas possible de trouver un placement financier qui soit à la fois très rentable et très peu risqué. 18 % des personnes sondées pensent donc encore qu’un placement financier à la fois rentable et peu risqué est possible, d’où le danger.

Natalie Lemaire, directrice des relations avec les épargnants à l’Autorité des Marchés Financiers (AMF), met en garde : « Si un message de type « devenez trader en 24 heures, arrêtez  de travailler etc. » apparaît, vous pouvez avoir un certain nombre de doutes légitimes […]. En effet, en aucun cas il ne s’agit d’un produit pour le grand public contrairement à ce que la plupart des publicités voudrait laisser croire ».

Pour retrouver l’intégralité de l’article, cliquez sur le lien suivant: 

http://www.adeic.fr/?page_id=1594

mercredi 1 février 2012

Le sommet entre le gouvernement et les partenaires sociaux dits représentatifs a donc eu lieu le 18 janvier. L’UNSA, non conviée à la réunion mais invitée à sa préparation, en attendait d’abord des mesures d’urgence pour faire face à la dégradation massive de l’emploi. Elles faisaient majoritairement l’accord des partenaires sociaux réunis à quelques jours du sommet. Le gouvernement les a globalement actées : montée en charge et simplification du chômage partiel, montée en charge des emplois aidés, amélioration de la formation… Grosse ombre au tableau : le financement annoncé. 429 millions d’€, dont très peu de crédits nouveaux, c’est, pour l’UNSA, beaucoup trop sous-calibré pour permettre un choc de pratique, notamment pour faire opter massivement pour le chômage partiel plutôt que pour les licenciements. Quant aux thèmes "invités surprise" du sommet, la TVA sociale et les "accords compétitivité", vieilles revendications du MEDEF reprises par le gouvernement, ils sont apparus pour ce qu’ils sont : des mesures à visée essentiellement politicienne dirigées vers l’élection présidentielle. Le financement de la protection sociale ou la compétitivité ne sont pas, pour l’UNSA, des sujets tabous. Mais ils sont trop importants pour être traités dans l’urgence, par le coup de force et non la négociation. Le gouvernement persistera-t-il ? On le saura à la fin du mois où des annonces plus précises devraient être faites. Pour l’UNSA, cela rend d’autant plus nécessaire une réunion de l’intersyndicale nationale


Le sommet entre le gouvernement et les partenaires sociaux dits représentatifs a donc eu lieu le 18 janvier. L’UNSA, non conviée à la réunion mais invitée à sa préparation, en attendait d’abord des mesures d’urgence pour faire face à la dégradation massive de l’emploi.

Elles faisaient majoritairement l’accord des partenaires sociaux réunis à quelques jours du sommet. Le gouvernement les a globalement actées : montée en charge et simplification du chômage partiel, montée en charge des emplois aidés, amélioration de la formation… Grosse ombre au tableau : le financement annoncé. 429 millions d’€, dont très peu de crédits nouveaux, c’est, pour l’UNSA, beaucoup trop sous-calibré pour permettre un choc de pratique, notamment pour faire opter massivement pour le chômage partiel plutôt que pour les licenciements. Quant aux thèmes "invités surprise" du sommet, la TVA sociale et les "accords compétitivité", vieilles revendications du MEDEF reprises par le gouvernement, ils sont apparus pour ce qu’ils sont : des mesures à visée essentiellement politicienne dirigées vers l’élection présidentielle. Le financement de la protection sociale ou la compétitivité ne sont pas, pour l’UNSA, des sujets tabous. Mais ils sont trop importants pour être traités dans l’urgence, par le coup de force et non la négociation. Le gouvernement persistera-t-il ? On le saura à la fin du mois où des annonces plus précises devraient être faites. Pour l’UNSA, cela rend d’autant plus nécessaire une réunion de l’intersyndicale nationale.

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