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lundi 29 avril 2013

TRACT DU 1ER MAI 2013 UNSA EDUCATION



Pointe-à-Pitre, le 24 Mai 2013

                      Viv’ 1er Mai,  an nou doubout’

Nous sommes à quelques jours du 1er MAI, jour que les travailleurs du monde entier commémorent comme journée fondamentale de revendication et de lutte pour l’avancée et l’amélioration de leur situation.

Nous, travailleurs affiliés à l’UNSA-Education, nous nous devons aussi de prendre part aux manifestations prévues, pour montrer notre volonté de voir changer les choses. On dit que la refondation est en route, mais nous, dans l’Académie de la Guadeloupe,  nous ne la ressentons pas encore. Le marqueur le plus visible qu’est la création et la redistribution de postes, loin d’être positif, a été totalement négatif, car on nous a encore retiré des moyens (40), ce qui est de nature à détériorer les conditions de travail des personnels et remettre en cause la réussite de nos élèves.  

L’UNSA-Education dénonce les effets pernicieux des agissements du pouvoir politique à l’encontre de notre académie. C’est le cas pour la formation initiale, abandonnée sous l’ère Sarkozy et dont le retour annoncé ne se déroule pas sous les meilleurs auspices, car l’ESPE tant attendu arrivera amoindri, le ministre Peillon faisant déjà marche arrière par rapport aux prévisions. La formation continue et les GRETA doivent également retenir toute notre attention, tant en terme d’offre de formation que de devenir des personnels.

Nous devons aussi rester vigilants et exigeants en ce qui concerne :
-l’évolution de carrière des agents de la catégorie C de la Fonction publique.
-la problématique de l’ISOE et de l’accès à la hors- classe pour les P.E et les CPE.

Il est certain que le changement indispensable ne pourra se faire sans nous.

Participons donc tous aux manifestations du 1er Mai 2013 au Gosier, aux côtés des autres camarades en lutte, pour dire non à tout ce qui fragilise le système éducatif, crée du mal être et dégrade les conditions de travail des personnels.

vendredi 26 avril 2013

[SE-Unsa] Lettre d'information du SE-Unsa n°259 - spéciale protocole de négociations carrière

n°259 - 26 avril 2013

Négociations carrière : ça démarre... enfin ! 
Le ministère vient de présenter au SE-Unsa un projet de protocole fixant le cadre des négociations sur les mesures catégorielles qui vont concerner les enseignants et personnels d'éducation dès 2013. Il met enfin en perspective les éléments d'une revalorisation attendue par tous les personnels.
Le SE-Unsa participera à ces négociations et s'engagera activement dans les discussions pour y conquérir des avancées pour les personnels.


C'est décidé, j'adhère au SE-Unsa !

Pour vous inscrire ou interrompre votre abonnement à la lettre des enseignants,
connectez-vous à cette page ou envoyez un courrier électronique à lettre@se-unsa.org.
SE-UNSA - 209 boulevard Saint Germain - 75007 PARIS - tél. +33 144 392 300

jeudi 25 avril 2013

MANIFESTATIONS DU 1ER MAI 2013: ANSANM-ANSANM


Le 1er mai se déroulera dans la ville du Gosier cette année.
L'UNSA t'invite à rejoindre la manifestation dès 8h30 au Calvaire. Nous défilerons dans les rues de la ville. Tu peux d’ores et déjà voir, partager et imprimer le tract (http://goo.gl/W5Tts)

Nous partagerons ensuite lors du déjeuner autour d’un buffet copieux à la plage de Saint-Félix au Gosier.

Tarifs:
Adulte ( 10€ ) et enfant de moins de 12 ans ( 8€ ).

Menu
ENTREE:
Salade de crudités
PLAT PRINCIPAL:
Emincé de volaille avec deux garnitures au choix
DESSERT:
Fruits

Différentes activités rythmeront l’après-midi.

Date limite de réservation
Samedi 27 avril 2013 à 11h00.

Pour toute réservation:
*en ligne (http://goo.gl/GSHqi)
*contacte le:
0590 82 22 04
0690 84 82 04
0690 54 87 33
971@SE-UNSA.ORG
HORAIRES D’OUVERTURE DU BUREAU:
Lundi au jeudi de 8h00 à 12h30 et de 15h00 à 17h30.
Vendredi de 8h00 à 13h00
1 Rue de la Clinique
Assainissement
97139 Abymes

ou l'un de nos conseillers syndicaux

ALIDOR Edgard       Abymes       0690803267
ALIDOR Gérard       Sainte Rose       0690 56 60 58
ANNE-MARIE Béatrice       Marie-Galante       0690 37 61 16
ARTHUR Basile       Port-Louis       0690 67 34 33
BARDUS Jack       Sainte-Anne       0690 75 27 49
BEZIAT Yane       Gosier       0690 43 23 98
BLANDIN Lydie       Saint-Claude       0690 25 00 05
BROUTA Fritz       Gosier       0690 56 69 56
BURNER Maddly       Pointe-à-Pitre       0690 72 63 44
BYRAM Gustave       Abymes       0690 47 07 46
CAFFIOT Marie       Moule       0690 32 44 42
CHAUVET Kristelle       Petit-Bourg       0690 45 60 62
COCO-VILOIN Pierre       Abymes       0690 76 56 61
CUIRASSIER Noelly       Sainte Rose       0690 53 43 11
DAVRAIN Diata       Abymes       0690 34 76 46
DETHELOT Sandrine                 0690 56 34 33
FRANCILLETTE Joëlle                    
GALAS Chantal       Sainte-Anne       0694 90 69 47
GANE Gary       Morne-à-l'Eau       0690 44 21 37
GUERRIER Fabienne       Petit-Canal       0690 73 03 77
JEAN Antony       Abymes       0690 84 01 67
JOUGLINEU Judith       Abymes       0690 84 29 03
MANICORD Christian                 0690 77 87 28
MOLINA Elisabeth       Moule       0690 57 77 99
NICOLAS David       Abymes       0690 54 87 33
OUJAGIR David       Moule       069057 23 58
OUJAGIR Yvelise       Moule       069047 71 83
PONTURE Jean-Charles                 0690 76 04 00
PYREE Pascal       Petit-Bourg       0690 37 28 08
SALNOT Marie-Line       Baillif       0690 32 95 90
SAMBIN Yanni       Moule       0690 81 56 99
SIMION Jean-Joël       Moule       0690621253
SITCHARN Karine       Petit-Bourg       0690 14 74 37
SOUDON Chantal       Morne-à-l'Eau       0690 33 76 63
THEOPHILE Firmin       Baie-Mahault       0590 25 77 17
TROUILLEFOU Nicole       Moule       0690 39 62 31
VAIRAC Lucette       Baie-Mahault       0590 26 19 65
VERSIN Rony       Petit-Canal       0690 71 83 53
VILUS Jean-Luc       Petit-Bourg       0690 73 55 85

samedi 13 avril 2013

Commission européenne : Budgets nationaux de l’Éducation sous pression !


« Impact de la crise économique et financière sur l’investissement dans l’Éducation »
Une étude réalisée par Eurydice (1), destinée à la Commission européenne et commentée par le bureau du CSEE (2) – Cette étude est une preuve solide, un instrument utile aux syndicats pour répondre et argumenter face aux politiques européennes… avec une petite réserve sur une interprétation !

L’étude affirme que les pays dont les budgets d’Éducation ont été les plus amputés sont ceux qui enregistrent la plus forte dette souveraine.De 2000 à 2012, vingt pays sur les 35 étudiés (3) subissent des réductions budgétaires affectant leurs systèmes d’Éducation qu’ils soient régionaux ou nationaux. Et de nouvelles coupes sont à prévoir !
Aspects dénoncés de longue date par les syndicats d’enseignants !
Des tendances préoccupantes en matière de financement de l’Éducation. Pour au moins le 1/3 des pays, l’étude établit que la baisse du financement public de l’Éducation a réduit le nombre d’enseignants. L’utilisation du gel et/ou de la réduction des salaires associée à la disparition des programmes de soutien aux élèves et de la formation des enseignants sont les principaux mécanismes de contrainte de la dépense publique. Ils ont pour corolaire de nombreuses fermetures et/ou fusions d’établissements scolaires.
Une déclaration trompeuse !
Le rapport fait valoir que, depuis 2007, tous les pays européens ont maintenu, au minimum,  la part actuelle de PIB allouée à l’Éducation. 
Eurydice se fonde ici sur le fait que le financement de l’Éducation a baissé à un rythme plus lent que le PIB national. Puisque cette part est elle-même corrélée au développement du PIB et que ce dernier suit une spirale descendante,  dire que les dépenses d’Éducation sont inchangées est abusif !

En revanche, l’étude fait ressortir, à juste titre que depuis 2009,  le taux « dépenses d’Éducation/dépenses publiques totales » a vivement chuté pour 4 pays (4) - À l’heure où presque tous les pays de l'UE sont en récession, le CSEE déplore cet état de fait et prie instamment les décideurs politiques de préserver l'avenir de l'Europe en investissant davantage dans l'Éducation.

L’allègement des dépenses d’Éducation se réalise aux dépens 
de la qualité de l’Éducation.

Pour près de la moitié des pays étudiés, les salaires des enseignants et des chefs d’établissement ont été impactés par le ralentissement économique. L’étude pointe du doigt l’Estonie, la Lituanie et la Roumanie mais également la Grèce,  l’Irlande et le Portugal. Les autres tendances sont les fusions, les fermetures d’établissements scolaires, l’augmentation du nombre d’élèves par classe ainsi que le manque d’investissement dans les Technologies de l'information et de la communication et/ou dans l’évolution professionnelle. Ce tableau inquiétant n’est pas sans incidence sur la qualité de l’Éducation.
Le sauvetage européen du secteur financier en cause !
Enfin, l’enquête montre que le plan de sauvetage européen du secteur financier a causé, en 2 ans (5), et pour l’ensemble des États membres de l’UE,  une envolée de + 6 points du « ratio moyen de la dette souveraine sur le PIB » !
En 2007, pour les  États membres de l’UE, le ratio était de 60 % de PIB contre 70 % pour ceux de la zone Euro. En 2011, ce dernier « grimpe » de 12,5 points pour « les 27 » contre 17,3 points dans la zone Euro. Conjointement, les financements des secteurs public et d’Éducation se sont brutalement écroulés.

En ce sens, le CSEE invite ses organisations membres à utiliser l’ensemble de ces données pour soutenir leur travail et leurs efforts de lobbying  afin d’obtenir que l’Éducation soit vue, partout en Europe, comme un investissement pour l’avenir.
Hélène Hemet
Secrétaire Nationale UNSA Éducation chargée du secteur international

Pour accéder au communiqué de la commission, suivezhttp://europa.eu/rapid/press-release_IP-13-261_en.htm
Pour accéder au rapport d’Eurydice intégral, suivezhttp://eacea.ec.europa.eu/education/eurydice/thematic_reports_en.php
(1) Le réseau Eurydice fournit informations et analyses des systèmes et politiques éducatives européennes. En 2013, il est constitué de 40 unités nationales définies par les ministères de l’Éducation nationale ; elles sont basées dans les 36 pays et coordonnées par l’Agence européenne exécutive « éducation, audiovisuel et culture » (EACEA)
(2) Comité Syndical Européen de l’Éducation auquel l’UNSA Éducation est affiliée et pour lequel elle possède un siège – élections nov. 2012 -
(3) Obs. réalisée en 2011 et/ou 2012.
(4) L’Irlande, la Roumanie, la Lettonie et l’Islande.
(5) Ce ratio moyen passe de 0,9 %/2007 à 6,9 %/2009.

vendredi 12 avril 2013

Université : moins d’un étudiant sur 3 obtient sa licence en 3 ans

Université : moins d’un étudiant sur 3 obtient sa licence en 3 ans
Seuls 27 % des étudiants ins­crits en pre­mière année de licence l'obtiennent en 3 ans, selon des chiffres publiés mer­credi par le minis­tère de l'Enseignement supé­rieur. 12 % l'obtiennent au terme d'une année supplémentaire.

41ème bureau exécutif de l’IE : Moins de 2 ans ½ pour assurer à chaque enfant le droit à une éducation de qualité !


C’était la première participation (1) de Laurent Escure au Bureau exécutif de l’Internationale de l’Éducation (IE). Comme les 25 autres membres du Bureau, il s’est prononcé en faveur d’une  éducation de qualité, accessible à tous et  financée par les fonds publics. Après la présentation de la 2nde conférence mondiale des femmes (WWC2)(2)de l’IE, il a réalisé une  intervention de soutien remarquée, à propos du Plan mondial d’action pour l’égalité des genres de l’IE (GEAP)(3). Ce plan s’articule autour de l’augmentation de la parité aux postes de responsabilités au sein  des syndicats, de l’accès et la participation des filles à une éducation publique de qualité et de l’autonomisation économique des femmes...


Les décisions du Bureau exécutif ont été éclairées par les recommandations du Comité de la Promotion des Femmes (4) et encouragées par les propos résolument engagés de Gordon Brown (5) qui, après avoir salué la constance de l’IE dans son action pour la promotion d’une éducation universelle de qualité, a réaffirmé le lien avéré entre la prospérité économique et sociale d’un pays et le niveau d’éducation de ses enfants. 
A cette occasion, il rappelé que l’ONU a instauré le 10 novembre dernier la Journée mondiale pour Malala. Enfin, Gordon Brown a déclaré, s’agissant des OMD (6) et de son programme « post-2015 », que « les objectifs que nous serons capables de réaliser d‘ici à la fin 2015 dépendent de la volonté politique ». Il est, par ailleurs, convaincu, qu’ensemble, nous pourrons apporter des changements politiques à l’échelle planétaire.
Dans cette lignée, le Bureau exécutif a unanimement adopté la stratégie globale et sa campagne « Mobilisation pour l’Éducation de Qualité » (MEQ) (7) et confirmé son engagement dans cette campagne.Associée à cette stratégie, l’IE impliquera toutes les organisations qui se préoccupent de l'avenir de la société et mènera son plaidoyer dans plusieurs domaines sur les plates-formes politiques pertinentes. Les initiatives de l’IE s’accorderont avec le calendrier des instances internationales (ONU et ses agences, OCDE). De facto, tous les affiliés de l’IE et leurs membres sont appelés à unir leurs forces et à décliner le thème dans des activités et événements répondant aux caractéristiques nationales et/ou régionales.
Pour une meilleure identification et reconnaissance de la campagne, le Bureau exécutif appelle les affiliés et leurs membres à associer leur logo à celui de l’IE.La campagne sera officiellement lancée le 23 octobre à l’occasion de la Journée mondiale des enseignants et atteindra son point culminant en octobre 2014 ; elle sera rythmée par un plan média adossé aux réseaux sociaux.
Ban Ki-moon (8) a lui-même reconnu que l'éducation était la clé de voûte du développement économique et social ce qui amène Fred van Leeuwen (9) à assurer que l'IE dispose déjà d’un précieux allié dans cette campagne et de conclure cette 41ème réunion par un « Forts d'un véritable engagement et d'une action concertée, nous parviendrons à améliorer la qualité de vie des générations futures » !
Hélène Hémet – Secrétaire nationale secteur International
(1) Laurent  Escure intègre par vote au BE d’octobre 2012 le siège ouvert  laissé vacant par P. Gonthier.
(2) WWC2 (World Women’s Conference 2) qui se tiendra les 7-9 avril 2014 à Dublin.
(3) GEAP : Global Gender Equality Action Plan.
(4) Comité qui s’est réuni avant le BE et auquel Hélène Hémet était observatrice au nom de l’UNSA Éducation.
(5) G. Brown, ancien 1er ministre britannique, envoyé spécial des Nations Unies pour l’éducation mondiale.
(6) OMD : objectifs du millénaire de développement.
(7) MEQ : Mobilisation pour une éducation de qualité.
(8) Ban Ki-moon : Secrétaire général des Nations Unies.
(9) Fred Van Leeuwen : Secrétaire général de l’IE.

jeudi 11 avril 2013

Commission européenne : Budgets nationaux de l’Éducation sous pression !



« Impact de la crise économique et financière sur l’investissement dans l’Éducation »
Une étude réalisée par Eurydice (1), destinée à la Commission européenne et commentée par le bureau du CSEE (2) – Cette étude est une preuve solide, un instrument utile aux syndicats pour répondre et argumenter face aux politiques européennes… avec une petite réserve sur une interprétation !

L’étude affirme que les pays dont les budgets d’Éducation ont été les plus amputés sont ceux qui enregistrent la plus forte dette souveraine.De 2000 à 2012, vingt pays sur les 35 étudiés (3) subissent des réductions budgétaires affectant leurs systèmes d’Éducation qu’ils soient régionaux ou nationaux. Et de nouvelles coupes sont à prévoir !
Aspects dénoncés de longue date par les syndicats d’enseignants !
Des tendances préoccupantes en matière de financement de l’Éducation. Pour au moins le 1/3 des pays, l’étude établit que la baisse du financement public de l’Éducation a réduit le nombre d’enseignants. L’utilisation du gel et/ou de la réduction des salaires associée à la disparition des programmes de soutien aux élèves et de la formation des enseignants sont les principaux mécanismes de contrainte de la dépense publique. Ils ont pour corolaire de nombreuses fermetures et/ou fusions d’établissements scolaires.
Une déclaration trompeuse !
Le rapport fait valoir que, depuis 2007, tous les pays européens ont maintenu, au minimum,  la part actuelle de PIB allouée à l’Éducation. 
Eurydice se fonde ici sur le fait que le financement de l’Éducation a baissé à un rythme plus lent que le PIB national. Puisque cette part est elle-même corrélée au développement du PIB et que ce dernier suit une spirale descendante,  dire que les dépenses d’Éducation sont inchangées est abusif !


En revanche, l’étude fait ressortir, à juste titre que depuis 2009,  le taux « dépenses d’Éducation/dépenses publiques totales » a vivement chuté pour 4 pays (4) - À l’heure où presque tous les pays de l'UE sont en récession, le CSEE déplore cet état de fait et prie instamment les décideurs politiques de préserver l'avenir de l'Europe en investissant davantage dans l'Éducation.

L’allègement des dépenses d’Éducation se réalise aux dépens 

de la qualité de l’Éducation.

Pour près de la moitié des pays étudiés, les salaires des enseignants et des chefs d’établissement ont été impactés par le ralentissement économique. L’étude pointe du doigt l’Estonie, la Lituanie et la Roumanie mais également la Grèce,  l’Irlande et le Portugal. Les autres tendances sont les fusions, les fermetures d’établissements scolaires, l’augmentation du nombre d’élèves par classe ainsi que le manque d’investissement dans les Technologies de l'information et de la communication et/ou dans l’évolution professionnelle. Ce tableau inquiétant n’est pas sans incidence sur la qualité de l’Éducation.
Le sauvetage européen du secteur financier en cause !
Enfin, l’enquête montre que le plan de sauvetage européen du secteur financier a causé, en 2 ans (5), et pour l’ensemble des États membres de l’UE,  une envolée de + 6 points du « ratio moyen de la dette souveraine sur le PIB » !
En 2007, pour les  États membres de l’UE, le ratio était de 60 % de PIB contre 70 % pour ceux de la zone Euro. En 2011, ce dernier « grimpe » de 12,5 points pour « les 27 » contre 17,3 points dans la zone Euro. Conjointement, les financements des secteurs public et d’Éducation se sont brutalement écroulés.

En ce sens, le CSEE invite ses organisations membres à utiliser l’ensemble de ces données pour soutenir leur travail et leurs efforts de lobbying  afin d’obtenir que l’Éducation soit vue, partout en Europe, comme un investissement pour l’avenir.
Hélène Hemet

Secrétaire Nationale UNSA Éducation chargée du secteur international

Pour accéder au communiqué de la commission, suivezhttp://europa.eu/rapid/press-release_IP-13-261_en.htm
Pour accéder au rapport d’Eurydice intégral, suivezhttp://eacea.ec.europa.eu/education/eurydice/thematic_reports_en.php
(1) Le réseau Eurydice fournit informations et analyses des systèmes et politiques éducatives européennes. En 2013, il est constitué de 40 unités nationales définies par les ministères de l’Éducation nationale ; elles sont basées dans les 36 pays et coordonnées par l’Agence européenne exécutive « éducation, audiovisuel et culture » (EACEA)
(2) Comité Syndical Européen de l’Éducation auquel l’UNSA Éducation est affiliée et pour lequel elle possède un siège – élections nov. 2012 -
(3) Obs. réalisée en 2011 et/ou 2012.
(4) L’Irlande, la Roumanie, la Lettonie et l’Islande.
(5) Ce ratio moyen passe de 0,9 %/2007 à 6,9 %/2009.

mercredi 10 avril 2013

Représentativité UNSA : Transformer l’essai en 2017


Communiqué de l'UNSA du 29 mars 2013En établissant l’audience et donc le niveau de représentativité des différentes organisations syndicales sur les bases de la loi du 20 août 2008, le ministère du Travail vient de dévoiler les contours du paysage syndical français réel dans le secteur privé...

Pour l’UNSA, jeune organisation aux moyens modestes, qui ne peut se présenter librement aux suffrages des salariés dans les entreprises que depuis quatre ans, les résultats obtenus confirment un travail militant de construction lent et patient.
Elle siègera désormais en situation de négociatrice dans 82 conventions collectives au lieu de 15. Quant aux 4,26 % du total des suffrages exprimés que l’UNSA réalise, il faut les relier à son implantation encore partielle, avec une offre UNSA dans une entreprise sur cinq seulement. Cela montre à la fois la vraie représentativité qu’elle a gagnée là où elle est présente, attestant de l’écho que l’offre syndicale UNSA rencontre auprès d’une fraction des salariés, mais aussi le champ de développement qui s’ouvre désormais devant elle pour le nouveau cycle électoral de quatre ans qui vient de démarrer.
La photographie du syndicalisme français en ce 29 mars 2013 n’est donc qu’un instantané. Les forces se réclamant clairement d’une pratique syndicale réformiste y sont majoritaires. Cela peut constituer un espoir pour les salariés français et pour le dialogue social dans notre pays. C’est pour y contribuer que l’UNSA entend continuer sa progression en se fixant de nouveaux objectifs de développement pour gagner sa représentativité à l’horizon 2017.

dimanche 7 avril 2013

samedi 6 avril 2013

Narbonne : l'Unsa en colère après le témoignage de l'un des siens dans "Capital"

Narbonne : l'Unsa en colère après le témoignage de l'un des siens dans "Capital"

Les responsables du syndicat (Union nationale des syndicats autonomes) ont saisi les instances nationales après la prestation de Jean-François Andujar dans Capital, sur M6. L'émission était consacrée au gaspillage de l'argent public.

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